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Adam Starkie

Clarinette

©Claire Giraudeau

Clarinettiste d’origine anglaise, Adam Starkie se produit principalement en tant que soliste et chambriste dans un répertoire divers et avec une affection particulière pour le répertoire contemporain.
Après un Bachelor of Music à l’Université de Leeds (Angleterre) auprès de Dov Goldberg, Adam intègre la classe d’Armand Angster au Conservatoire de Strasbourg. Il y obtient un diplôme de perfectionnement, un diplôme de spécialisation (répertoire contemporain), sa médaille d’or en clarinette basse avant de finaliser son cursus par un master d’interprétation musicale à l’Académie Supérieure de Musique de Strasbourg/Haute École des Arts du Rhin en 2011. Il a suivi des masterclass avec les solistes internationaux Colin Bradbury (BBC Philharmonic) et Cristo Barrios.
Il collabore régulièrement avec des ensembles (Ensemble Linea, Accroche Note, Ensemble Zellig, l’ensemble l’imaginaire, El Perro Andaluz…) avec qui il a fait des créations dans des festivals et salles de concert à travers l’Europe, en Asie et en Amérique du Nord. Il apprécie surtout de travailler avec les compositeurs et a eu l’occasion de bénéficier des conseils de Helmut Lachenmann, Mark André, Luis de Pablo, Doina Rotaru, Aurélien Dumont, Ivan Fedele, Frédéric Durieux, Gualtiero Dazzi, Sohrab Uduman, Daniele Bravi parmi d’autres.
Adam est co-fondateur/directeur artistique du collectif lovemusic. Le collectif s’est produit au Japon, en Angleterre, en Allemagne, au Mexique et en France. lovemusic s’engage à explorer tous les répertoires avec un travail important en collaboration avec des compositeurs d’aujourd’hui qui complète une programmation qui offre un point de vue original du présent.
Toujours intéressé de diversifier son activité Adam joue également au sein de formations pluridisciplinaires. Avec les ensembles 2.2 il participe à monter une installation sonore pour l’artiste Zahra Poonawala qui a été exposée à Tourcoing, Bruxelles, Barcelone, Strasbourg et Vilnius.
Sa discographie comprend notamment des disques monographiques de Raphaël Cendo (Corps - l'empreinte digitale) de Aurélien Dumont (Stillness - Odradek), Julien Maluasenna (Articulated sound energy - enmossed).

Emiliano Gavito

Flûte

©Claire Giraudeau

Toujours intéressé par les arts scéniques, Emiliano se consacre depuis très jeune à la musique et à la danse. En parallèle à sa formation supérieur en flûte et musique de chambre, il poursuit ses études de danse classique et contemporaine tout en s'expriment au sein de diverses compagnies de danse contemporaine dans des nombreux festivals internationaux. Son intérêt particulier pour l'interaction entre les arts l’incite à suivre l’atelier de création interdisciplinaire (musique-théâtre-danse) de la Gildhall School of Music and Drama de Londres, une expérience qui lui mène à s'investir sérieusement dans la recherche sur les frontières entre ces trois disciplines.
En France, il  obtient au Conservatoire de Strasbourg le diplôme de flûte (classe de Mario Caroli), le diplôme de perfectionnement et le diplôme de concert en musique de chambre (classe de Martin Gester et Armand Angster) ainsi que son Diplôme d’Etudes Chorégraphiques. Grace a un intérêt particulier pour les pratiques chorégraphiques et musicales du XVII et XVIII siècles et leurs parallèles avec les pratiques modernes il a obtenu le diplôme en  traverso (avec Nancy Hadden) ainsi  qu’une formation en danse baroque.
Titulaire du Diplôme d’État en enseignement spécialisé de la musique il réalise une importante activité pédagogique en Alsace.
Constamment à la recherche des nouveaux horizons, Emiliano a une vaste activité dans divers spectacles et concerts En France, aux Pays-Bas, en Allemagne, au Royaume-Uni, Japon et Mexique, se faisant particulièrement l'interprète de jeunes créateurs. 
Le fait d'avoir travaillé avec artistes de différentes disciplines et esthétiques, lui a permis d’avoir une ouverture et un enrichissement exceptionnelles. Actuellement, il se produit au sein de plusieurs ensembles et notamment en créant lovemusic avec le clarinettiste Adam Starkie avec qui il a une constante activité dans la création de nouveau répertoire tout en concevant des projets qui stimulent une approche différente du public à la musique de nos jours.

 Lola Malique

violoncelle

©Claire Giraudeau

Lola Malique obtient en 2016 un Master de violoncelle classique à la Haute École de Musique de Lausanne dans la classe de François Salque, après avoir reçu un Diplôme National Supérieur Professionnel du Musicien et une Licence au Pôle Supérieur de Seine-Saint-Denis dans la classe de Florian Lauridon. Parallèlement à cette formation instrumentale, elle a travaillé le chant (jazz, chanson française) avec Laura Littardi à la Cité des Arts de Paris. 
Elle se produit à l’international en solo au Brésil (São Paolo, Rio de Janeiro) en 2017 puis au Maroc (Oujda) en 2018 où elle a été artiste en résidence à l’Institut Français du Maroc.
Elle accompagne au violoncelle l’écrivain Abdellatif Laâbi (Prix Goncourt de la Poésie 2009) lors de la Nuit de la Poésie 2017 à l’Institut du Monde Arabe, au Printemps du Livre de Tanger 2018 ou encore au Musée Yves Saint-Laurent de Marrakech 2019.
Elle a été invitée par l’ensemble Itinéraire, l'Instant Donné, l’Ensemble de violoncelles de Paris, Soundinitiative, le Projet Bloom, Eté Large (Allemagne).
Membre fondateur de l’ensemble 20° dans le noir basé à Paris, elle développe et suscite un nouveau répertoire pour violoncelle et musique de chambre en collaboration avec les compositeurs d’aujourd’hui.
En 2017 elle co-écrit et interprète la musique du spectacle de Yoann Bourgeois, La Mécanique de l’Histoire au Panthéon dans le cadre du Théâtre de la Ville.
Elle compose également la musique des spectacles Au fond, la Chose avec la comédienne Cécile Martin, Ce que j’ai dans le ventre et MER avec la danseuse Maud Miroux et collabore étroitement avec Gatica. En 2020 elle écrit la musique des spectacles Alice de l’autre côté du miroir de la compagnie Alto et Insinuation de la compagnie de danse Trafic de Style. 
En 2018 elle rejoint le collectif lovemusic, ensemble de musique contemporaine basé à Strasbourg et s'investit avec eux dans divers projets à travers le monde (Allemagne, Portugal, Suisse, Angleterre...).
En mai 2019, Lola Malique sort son premier album, Le Meilleur Lit, distribué par Musicube. Le concert de sortie se tient à la Basilique de Saint Denis dans le cadre du Festival Métis, en partenariat avec le Centre des Monuments Nationaux. Elle présente également des concerts en solo au Festival Ars Musica (Belgique), au festival Détours de Babel (Grenoble), au festival Musica (Strasbourg).
En 2020 elle créé et se produit en duo dans plusieurs lieux en France avec l’artiste Anissa Nehari.
En 2023 elle accompagne au violoncelle l’écrivaine québécoise Hélène Dorion à l’occasion de la sortie du recueil de poésie « Mes forets », oeuvre inscrite au programme du baccalauréat 2024.

 Emily Yabe

violon - alto

Emily Yabe a obtenu son Bachelor en musique au conservatoire Toho Gauken dans sa ville natale de Tokyo, puis des études en master à la Hochschule für musik Dresden avec des diplômes en musique d'orchestre et un diplôme de soliste avec Ivan Ženatý, qu'elle a terminés en 2012.

Pendant ses études à Tokyo, elle commence à travailler avec des artistes contemporains. En 2002, elle a reçu le prix de la bourse au Darmstädter Ferienkurset. En 2008, elle a reçu le prix spécial de la meilleure interprétation d'une œuvre du XXe siècle au Concours International « Reine Sophie Charlotte » et en 2010 le Prix DAAD. Elle a également été boursière à l'Académie Hellerau pour le théâtre musical expérimental 2010/11.

Emily a participé à des master classes avec Vadim Gluzman, Ulf Hoelscher, Kevork Mardirossian, Miklós Perényi, Benjamin Schmid, Thomas Brandis, Ensemble Modern et ensemble recherche.

Elle a travaillé avec de nombreux artistes et compositeurs contemporains, dont Mark Andre, Saskia Bladt, Adriana Hölszky, Sven-Ingo Koch, György Kurtág, Helmut Lachenmann, Helmut Oehring, Enno Poppe et Manos Tsangaris, et a donné des créations en Europe et en Asie.

Elle s'est produite en soliste à la Biennale de Munich, ECLAT Festival, Tonlagen-Hellerau, SPOR Festival à Aarhus, rainy days-Festival de musiques nouvelles à Luxembourg, au Semperoper (Semper Zwei), au Staatsoper Berlin dans "Abstract Pieces" , au Deutsche Oper dans "Underline" et au Bayerische Staatsoper dans "Tonguecat" du Festival d'Opéra de Munich.

Elle est également membre des ensembles El Perro Andaluz et tooperative.

Christian Lozano Sedano

guitare

photo: Adam Starkie

Le guitariste mexicain Christian Lozano a obtenu son diplôme à l'Institut national des beaux-arts de l'Escuela Superior de Música de Mexico avec Leticia Alba. Il a continué ses études avec le guitariste Juan Carlos Laguna.
En 2006, il poursuit ses études en Suisse avec le guitariste Pablo Marquez à la Musik Academie de Bâle où il obtient le diplôme de concert et un master en pédagogie musicale. Pendant ses études, il a reçu la prestigieuse bourse d’excellence du gouvernement suisse.
Christian a participé à nombreux master-classes cours de musique ancienne, improvisation ainsi que de musique contemporaine avec Abel Carlevaro, Paul Galbraith, Stephan Schmidt, Hopkinson Smith, Eduardo Fernández, Magnus Anderson, Fred Frith, Marco Battaglia, Pablo Gómez et Mariano Martin.
Il a joué dans des salles de concert et des festivals au Mexique, en France, en Allemagne, en Suisse et au Paraguay. En 2006, il a fait la création paraguayenne du célèbre Concierto del Sur du compositeur mexicain Manuel M. Ponce avec l'Orquesta Sinfónica de Asunción.
Actuellement basé à Bâle, en Suisse, il se produit régulièrement en tant que soliste avec de nombreux ensembles de musique de chambre. Parallèlement au répertoire de guitare classique, Christian Lozano s'intéresse particulièrement à la musique des XXe et XXIe siècles. Christian est également professeur à la Musik Academie de Bâle.

 Léa Legros Pontal

alto

©Claire Giraudeau

Léa Legros Pontal, née en 1988 à Marseille, est une altiste indépendante basée à Berne. Après un Bachelor avec mention au CNSMD de Lyon (2012), elle s’installe en Suisse pour la fin de ses études pour un Master Performance suivit d'un Master Orchestre à la Haute École de Lucerne auprès d’Isabel Charisius et Sylvia Zucker.

Passionnée de musique de chambre Léa a étudié dans la classe du Quatuor Ysaÿe au conservatoire de Paris. Elle a également fait partie d’un trio flûte, alto et harpe pendant près de 5 ans. Elle se produit dans différents festivals aux côtés de Peter Bruns, Franz Helmerson et Isabel Charisius.

Léa travaille régulièrement avec plusieurs orchestres

comme le Sinfonieorchester St. Gallen, l’Orchestre National du Capitole de Toulouse ou les Festival Strings Lucerne.

Par ailleurs elle est alto-solo de la Camerata Ataremac (Lausanne). Depuis 2020 elle est également membre du Berner Kammerorchester (BKO).

La musique contemporaine et l’improvisation libre sont deux aspects importants de son activité musicale.

Pendant ses études à Lyon elle participe à la classe d’improvisation dirigé par Henri-Charles Caget et Jean-Marc Foltz. Par la suite Léa a continué de s’imprégner de conseils artistiques auprès de Garth Knox, Joëlle Léandre, Laurent Estoppey, Nils Wogram, Jacques Demierre, Lauren Newton et Gerry Hemingway.

Avec la saxophoniste Silke Strahl elle fonde le Duo Klexs qui remporte le deuxième prix du Concours Nicati 2019. Elle est aussi membre de l’Ensemble Nachhall (quartett avec Sara Käser-violoncelle, Raphael Loher-piano et Silke Strahl), dont la musique se développe aux frontières du free-jazz et de l’improvisation libre.

Depuis ses études lyonnaises Léa s'intéresse beaucoup à la musique ancienne. Elle choisira d'ailleurs cette discipline comme Minor pour son premier Master tout en accumulant de nombreuses expériences. Depuis 2018 elle étudie l'alto baroque auprès de la violoniste Sabine Stoffer à l'Ecole de Musique de Berne. Léa se produit régulièrement avec les ensembles Arpa Festante (DE) et Chiave d’Arco (CH)

Léa enseigne le violon et l’alto dans l’école de musique Violin4all à Fribourg.

 Niamh Dell

hautbois

©Gregory Massat

Niamh Dell est une hautboïste australienne qui prépare actuellement un doctorat en recherche sur la performance contemporaine à l'Université de York. Elle a terminé ses études de licence au Conservatoire de musique de Sydney et à l'Université de Western Australia en 2016. En 2017/2018, Niamh a participé au programme de master du International Ensemble Modern Academy à Francfort, en Allemagne, et elle a interprété une vaste gamme de répertoire contemporain tant orchestral comme de musique de chambre dans des lieux tels que la Kölner Philharmonie, la Hessischer Rundfunk, la Deutschlandfunk et l’Alte Oper Frankfurt.

Niamh s’est perfectionnée auprès de hautboïstes tels que Christian Hommel, Alexandre Oguey et Elizabeth Chee, et elle a participé à des master-classes avec des artistes tels que Alexei Ogrintchouk (RCO), Emanuel Abbühl (LSO) et Diana Doherty (SSO).

Léa Trommenschlager

voix

photo: Sébastien Moullier

Léa Trommenschlager obtient ses diplômes au Conservatoire de Strasbourg auprès d'Henrik Siffert et Françoise Kubler ainsi qu'à la Musikhochschule Hanns Eisler de Berlin avec Norma Sharp. Elle reçoit également les conseils de Claudia Solal, J.Chuilon, D. Fischer-Dieskau, C. Schäfer, D.Upshaw et I. Bostridge. 
En 2011, elle est lauréate de l’Académie du Festival d’Aix-en-Provence. 
A l’opéra, on a pu l’entendre dans l'opéra d'A. Lavandier « De la Terreur des Hommes » créé à Paris avec l'Ensemble Le Balcon, ainsi qu’en Cleopatra de « Giulio Cesare » de Haendel à Berlin. En 2012, Léa poursuit la tournée du spectacle « Cher Erik Satie », mis en scène par Jean Bellorini. En 2013, elle chante dans « Wie man findet, was man nicht sucht » de Leah Muir à la Tischlerei du Deutsche Oper de Berlin -mes M. Höppner- ainsi que le rôle-titre dans « Ariane à Naxos » de Strauss au Théâtre de l’Athénée à Paris –mes B. Lazar-, avec Le Balcon, direction Maxime Pascal, puis chante Fiordiligi dans « Cosi fan Tutte » -mes Margita Zalite, à la Tischlerei du Deutsche Oper Berlin. 
En 2013, elle intègre la production « Doppelgänger » -mes D. Marton- créée au Schauspiel Stuttgart. À l'été 2014, Léa est invitée à se produire en récital aux festivals d’Aldeburgh, au Samuel Beckett - Happy Days Festival avec le pianiste Julius Drake et au Festival d'Aix-en-Provence où elle chante notamment les Vier Letzte Lieder de Strauss sous la direction d'Alain Altinoglu. 

Dans les répertoires de la mélodie et du Lied, elle a le plaisir de travailler avec les pianistes Alphonse Cemin, Alexander Fleischer, Elizabete Šīrante et Jonathan Ware. Au printemps 2015 paraît son premier enregistrement avec le label B Records du cycle « Myrthen » de Schumann, avec la complicité du baryton-basse Damien Pass et du pianiste Alphonse Cemin.

Récemment, on a pu entendre la soprano à l'Opéra de Lille, au Théâtre de l'Athénée à Paris, à la Konzerthaus de Berlin, à La Folle Journée de Nantes, au Théâtre du Châtelet, au Théâtre des Salins à Martigues, au Schauspiel de Stuttgart, à La Criée à Marseille ainsi qu’au Tchekhov Festival de Moscou.
Après une tournée en Allemagne ce printemps, où elle interprétait la IVe symphonie de Mahler sous la baguette de J. Klumpp, Léa Trommenschlager enregistre l’opéra radiophonique « Opus Magnus » du compositeur Manuel Durão avec l’ensemble Podium. 
Cette saison, après ses débuts à l’Opéra de Lille pour la création de l’opéra  «Le Premier Meurtre » d’Arthur Lavandier, on retrouvera la soprano à Salzbourg pour « Jakob Lenz », opéra de W. Rihm, puis dans une création avec le guitariste-compositeur Marc Ducret, mais également en récital avec Alphonse Cemin au Théâtre Impérial de Compiègne. Léa chantera sous la baguette de Vincent Dumestre avec le Poème Harmonique dans l’opéra « Il Terremoto » de Draghi à Cracovie ainsi que dans l’opéra-chorégraphique « Initio » de T. Julien et P. Garcia-Velasquez au Théâtre national de Chaillot.

 Célia Levasseur

administration de production

Photo: ©Adam Starkie

Ayant grandi dans un milieu artistique et culturel, Célia Levasseur s'est naturellement tournée vers l'accompagnement de Compagnies et de Collectifs artistiques dans la gestion de leurs projets.

Après des Licences de Droit et de Philosophie à l'Université Panthéon Sorbonne et des Masters d'Enseignement & Formation et d'Administration de la Musique et du Spectacle Vivant à l'Université Saclay, elle a mis ses compétences et connaissance à disposition de structures culturelles diversifiées (musique, théâtre, danse, production audiovisuelle, etc...).

Administration, production, gestion de projet, elle s'adapte aux besoins des artistes et compagnies qu'elle accompagne pour permettre de développer au mieux leurs projets. Attachée aux notions de droit des salariés, de justice sociale, de diversité et d'équité, elle choisit les projets pour lesquels elle travaille dans un esprit d'engagements politiques et de rayonnement de ceux-ci dans sa pratique comme dans celles des structures avec lesquelles elle travaille.

 Finbar Hosie

électronique, assistant de production et technique

©Claire Giraudeau

Finbar Hosie (1996, Salisbury, Royaume-Uni) est un compositeur franco-britannique, basé entre Strasbourg et le Royaume-Uni. Sa musique exprime une vision radicalement phénoménologique ; articulée à travers des forces musicales apparemment opposées, elle aboutit à une expression fragile des limites entre l'électronique et l'acoustique ; une amplification des aspects les plus éphémères du son déplace notre attention vers un sédiment musical laissé par son passage. Un questionnement social parcourt toute la production de Finbar, notamment dans ses installations et ses œuvres transdisciplinaires. Il s'investit également dans les interactions et l'hybridation entre la musique contemporaine et les univers sonores folkloriques traditionnels. Finbar est titulaire d'un bachelor de Brunel University London et d'un master du conservatoire de Strasbourg et de l'Académie Supérieure de Musique de Strasbourg (HEAR), et il est actuellement lauréat 2023 du fonds Franco-Britannique Diaphonique pour la musique contemporaine. Les œuvres de Finbar ont été programmées et jouées dans toute l'Europe, aux États-Unis et au Royaume-Uni.

Finbar a fréquemment collaboré avec le collectif en tant que compositeur et a récemment rejoint l'équipe de Lovemusic en tant qu'artiste électronique, en plus d'être en charge de la production et de l'assistance technique.